Alors que le Groupe de réflexion sur les drogues (GRD) souffle ses vingt bougies, La Tribune en a profité pour révéler le parcours de trois jeunes aux prises avec des problèmes de consommation qui bénéficient du programme.
« Je sais maintenant que, si j’ai un problème, que je ne sais plus quoi faire avec ma consommation, j’ai une aide qui est là pour ça », indique Paul, l’un des adolescents interviewés dans le cadre de cet article.
« On doit leur faire comprendre qu’ensemble, on peut parler de consommation, que je n’irai pas en parler à la direction ni au responsable de l’encadrement. On doit leur montrer qu’ils peuvent en parler avec un adulte sans jugement », explique Yannick, technicien en éducation spécialisée à l’école Mitchell-Montcalm, que fréquente Paul.
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La Tribune fait aussi l’état de la situation de la consommation chez les jeunes, et brosse le portrait du déploiement du programme au cœur de l’Estrie, dans un second article.
On y présente l’approche non moralisatrice de réduction des méfaits mais, surtout en quoi GRD outille adéquatement les intervenants à épauler leurs jeunes en besoin.
« J’avais trop de rencontres individuelles. On fait seulement entre 30 h et 35 h par semaine… je n’y arrivais pas. Je cherchais un moyen de rencontrer un maximum de jeune à la fois », explique Yannick Dallaire.
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